Les 7 défis de l’IAA : où en sommes-nous un an plus tard ?
Début 2024, Acemia présentait les 7 défis de l’IAA pour 2024, reflétant les grandes transformations à l’œuvre dans l’industrie agroalimentaire. Un an plus tard, ces enjeux sont toujours d’actualité. Certains ont connu des avancées notables, d’autres sont restés en suspens ou se sont intensifiés. Dans cet article, nous comparons la situation en 2024 et celle de 2025 pour mieux comprendre les évolutions du secteur.
1. Durabilité et responsabilité environnementale
En 2024, les attentes des consommateurs en matière d’environnement poussaient les industriels à repenser leurs pratiques. Les démarches étaient engagées, mais encore peu opérationnelles.
En 2025, les engagements se sont traduits par des actions concrètes : éco-conception, réduction des déchets, optimisation énergétique. Chez Acemia, cela s’est notamment matérialisé par l’intégration de solutions facilitant le nettoyage en place (CIP), la limitation des pertes matière et la baisse de la consommation d’énergie.
2. Adaptation aux changements climatiques
En 2024, le lien entre dérèglement climatique et production alimentaire était reconnu, mais difficile à anticiper dans les choix industriels.
En 2025, les effets sont désormais visibles : variabilité des matières premières, perturbation des récoltes, tensions d’approvisionnement. Cela renforce le besoin de lignes de production plus flexibles. Acemia répond à cette évolution avec des systèmes capables d’absorber les variations de produits et de cadences.
3. Chaîne d’approvisionnement
En 2024, les conséquences de la crise sanitaire révélaient les fragilités de certaines chaînes mondiales. La résilience devenait un mot-clé.
En 2025, les industriels privilégient des circuits plus courts, des partenaires locaux et une automatisation accrue. Les systèmes de convoyage et de transitique intelligente développés par Acemia s’inscrivent dans cette logique de sécurisation des flux et de fluidité opérationnelle.
4. Qualité et sécurité des aliments
En 2024, la sécurité alimentaire restait un enjeu prioritaire, avec des attentes croissantes en traçabilité et hygiène.
En 2025, les normes se renforcent, et la sécurité devient un argument commercial. Acemia conçoit des équipements à design hygiénique, facilement nettoyables, pour garantir des standards élevés sans impacter les performances de production.
5. Évolution des préférences des consommateurs
En 2024, les attentes se tournaient vers le végétal, le bio, le local, ou encore les produits sans allergènes.
En 2025, ces tendances se confirment et s’intensifient. Elles imposent une plus grande souplesse dans les recettes, les formats et les emballages. Acemia propose des solutions modulables, ergonomiques, adaptées à des gammes de produits très diverses.
6. Numérisation et innovation technologique
En 2024, l’IA, l’IoT et la traçabilité connectée suscitaient un intérêt croissant, mais restaient peu déployés sur le terrain.
En 2025, les premiers projets pilotes émergent, avec des applications en maintenance prédictive ou gestion des flux. Acemia prépare l’intégration fluide de ces technologies dans ses lignes, sans complexifier leur usage quotidien.
7. Main-d’œuvre et formation
En 2024, les tensions sur le recrutement, notamment sur les postes techniques, constituaient une difficulté majeure.
En 2025, la pénurie persiste. L’automatisation se développe, mais elle doit s’accompagner de formations ciblées et d’outils simples à prendre en main. Acemia conçoit ses équipements pour faciliter le quotidien des opératrices et opérateurs : ergonomie, intuitivité, simplicité de maintenance.
Un secteur toujours en mouvement
Un an après notre premier état des lieux, les défis de l’industrie agroalimentaire sont toujours bien présents. Mais ils évoluent, se précisent, et donnent lieu à des réponses concrètes. Chez Acemia, nous accompagnons cette transformation au quotidien, en concevant des lignes de production adaptées aux exigences d’aujourd’hui… et de demain.
